• Le chapitre 5 et le dernier de la soirée !!  Bye bye et bonne nuit !!

      

    Chapitre 5 

     

    Je continue de courir, je ne vois rien même avec mon téléphone allumer. Je me cogne d’un seul coup contre un mur, je le tâte, une impasse !! Je me retourne, des torches se sont allumées tout le long des deux murs et deux autres à côtés de moi sur le mur qui me bloque le passage. Je les vois avancer vers moi, comme des chiens qui ont cernés leur proie.

     

    « - Enfin tu t’arrêtes Nora, dit une voix d’homme, n’ai pas peur, tu ne nous reconnais pas ? Enfin, voyons Nora, réfléchie un peu, continu t-il en me voyant faire non de la tête.  

     

    - On me dit toujours de ne pas avoir peur, alors maintenant se n’ai plus le cas. Je ne vous connais pas, que me voulez-vous ?, demandai-je férocement.

     

    - Oh, oh, elle joue la maline avec toi Greg, dit une voix derrière l’homme appelé Greg. Tu ne devrais pas te laissé faire, attaque là !!

     

    - Tu veux faire la maline avec moi Nora ?, dit le dénommé Greg. Tu ne devrais pas, connait tu Chad Marvelo ?

     

    -…. Oui …, laissez-le, je ne veux pas qu’on lui fasse du mal, où est-il ?

     

    - Ah !! Je savais bien que tu t’inquiétais pour lui, me dit-il d’un ton malicieux, faites le venir, dit-il aux autres derrière lui. »

     

    Quelques minutes passent, j’entends des pas puis je vois Chad, dans les bras d’un homme très costaud, il à les yeux fermés.

     

    « - Chad !!!, criai-je en commençant à courir vers lui.

     

    - Non, non, toi tu restes là, dit Greg en m’attrapant le bras.

     

    - Il est mort ?, lui demandai-je à bout de souffle.

     

    - Oui et non, il pourrait mourir maintenant, mais si tu es gentille avec moi, il ne mourra pas.

     

    - Que voulez-vous ? Je n’ai pas d’argent mais…

     

    - Se n’ai pas de l’argent que je veux mais c’est toi, notre maître te veux toi.

     

    - Pourquoi ? Il veut me tuer ? Me torturer ? Me manger ?, dis-je en rigolant à peine.

     

    - En faite, tu devrais plutôt dire elle. C’est une fille.

     

    - Une…une fille ? Qui-es-ce ?

     

    - Très bonne question, je vais te répondre tout de suite, dit-il en faisant signe de main au costaud de poser Chad à mes pieds et de mettre son épée sur son cou.

     

    - Non !! Ne lui faites pas de mal, laissez-le, s’il vous plaît, criai-je en m’accroupissant au près de Chad.

     

    - C’est ta mère. Notre maître, c’est ta mère. »

     

    Un silence s’installe, j’avale avec difficulté ma salive. Ma mère, se n’est pas possible. Elle est morte après qu’un avion se soit crashé sur son immeuble de travail.

     

    - Nous te laissons, pour l’instant mais avant, termines en avec lui, finit Greg en pointant son gros doigt sur Chad.

     

    - Non !!!, hurlai-je. »

     

    Je me jette sur Chad et ferme les yeux. Rien ne se passe, je les rouvres, le costaud à l’épée levée sur nous deux et il est immobile.

     

    « - Pousse toi de là Nora, ta mère ne veux pas qu’on te tue.

     

    - Vous devrez me tuée pour le toucher !! »

     

    Greg me prends les deux bras et m’écarte de Chad, il me met un mouchoir sur le nez. J’entends un dernier cri puis plus rien, je sombre dans un sommeil profond.

     

     

     

    « Ah !! S’est pas vrai, dit une voix de fille que je reconnais : Lysias. Chad, Nora. »

     

    J’entends des pas précipités vers moi.

     

    « Nora, Nora !!, dit Lysias en me touchant le coup pour voir si je respire. Ouf, elle n’est pas morte.

     

    - Chad non plus, il a juste été gravement blessé au cou par une épée, dit une voix d’homme que je ne reconnais pas. Heureusement que nous sommes arrivez à temps, il serait mort sinon. »

     

    J’ouvre les yeux d’un seul coup en pensant à Chad. Je me lève et court vers lui. L’homme que je ne connais pas l’a assit et Chad à les yeux ouverts, son t-shirt est tout déchiré, on dirait des griffes d’animal.

     

    « Chad, dis-je d’en un murmure. Tu vas bien ?

     

    - Oui, un peu mieux en tout cas, merci pour tout à l’heure.

     

    - Merci à toi aussi. Qui êtes-vous ?, demandai-je à l’homme.

     

    - Je m’appelle Persill, je suis un ami de Chad, enfin un très vieil ami, on ne se voit plus depuis très longtemps.

     

    - Je ne vous connais pas, pourquoi vous ne me demandez pas mon nom ?

     

    - Je le connais déjà, Lysias viens de le dire.

     

    - Que faites-vous là ?

     

    - Je rendais visite à Chad

     

    - Vous avez dit que vous ne vous voyez plus depuis longtemps, alors pourquoi venir lui rendre visite maintenant et pas avant ?

     

    - C’est moi qui l’es appelé, répondit Chad à la place de Persill. J’avais besoin de lui, je savais qu’il viendrait mais je ne l’avais pas prévu si tôt…

     

    - D’accord…

     

    - On devrait remonter, dit tout d’un coup Lysias.

     

    - Tu as raison, dirent Chad et Persill en même temps. »

     

    Je me lève et commence à marcher vers l’escalier, Persill aide Chad à se relevé et Lysias ferme la marche. Je monte l’escalier, ouvre la porte et vais dans le salon. Je m’arrête de suite, Symh et Noam sont étalés par terre, mort près de la porte, du sang coule encore, à côté d’eux, se trouve un papier, je cours le ramassée, il est jaunie, des inscriptions y sont marqués, c’est écrit très grossièrement : Marche droit devant toi et tourne à gauche à la grosse pierre noire, tu nous trouveras quand tu ne voudras plus de morts.

     

    Chad et les autres arrivent, il me prend le papier des mains et le lis.

     

    « C’est pour moi, dis-je en montrant les deux corps, et le papier aussi.

     

    - Tu n’iras pas, dit Chad d’un ton très calme mais convainquant.

     

    - Ils sont morts pour me sauvée mais moi, se n’ai pas ça que je veux.

     

    - Si tu y vas, je te retiendrais et je ferais tout se qui est en mon pouvoir pour t’en empêcher.

     

    - Tu n’as pas le droit, dis-je en regardant Symh et Noam les yeux grands ouverts, une larme coule de leur œil et tombe par terre. C’est mon choix. »

     

    Chad me tourne le dos et dit : « Tu fais ce que tu veux mais à une condition, ne reviens jamais ici temps que tu ne seras pas morte en vain. »

     

    J’ouvre les yeux en grand, ouvre la bouche et :

     

    « - …, que veux-tu dires par là ?

     

    - Ne reviens jamais tant que tu n’auras pas une raison valable de nous revoir. Tu vas devenir se que ta grand-mère redoutait. On aura essayés, mais tu es une idiote comme touts les autres que nous avons essayés de sauvés, des idiots, au revoir Nora.

     

    - Tu, tu n’es même pas triste que je parte loin de toi ? Je m’en vais Chad, je m’en vais pour de bon et tu n’éprouve…rien ?

     

    - Non, rien. Au revoir. »

     

    Il n’a aucune pitié pour moi, tant pis. Je vais dans la chambre de Chad, reprend mon gilet et les autres affaires puis je sors de la chambre. Je reste plantée là, comme une statue. Lysias m’attend devant de la porte, un manteau sur elle.

     

    « - Tu fais quoi ?, demandai-je.

     

    - Je t’attends, je t’emmène à la grosse pierre puis je partirais en te laissant avec ses monstres.

     

    - Comme toi.

     

    - Je ne comprends pas…

     

    - Ma grand-mère, moi, ça ne te dis rien ?

     

    - Je, j’étais avec les autres à se moment là, je ne savais pas se que je faisais. Je…

     

    - Espèce de sale…

     

    - Nora !, lance Chad à l’autre de bout de la pièce. Vas-t’en d’ici tout de suite et toi Lysias tu reste là.

     

    Je le regarde puis j’ouvre la porte, sors et la referme d’un coup sec. Je respire l’air frais. Il fait nuit et froid, je commence à avancer en tremblant.

     

    Je ne vois rien, j’essaye de me souvenir du mot 

     

    « Marche droit devant toi et tourne à gauche à la grosse pierre noire, tu nous trouveras quand tu ne voudras plus de morts, dis-je. Comme si je voulais que mes amis meurent pour moi, c’est n’importe quoi ». J’allume mon portable en mode lampe-torche et continue d’avancée lentement. J’arrive à une intersection, soit je tourne à gauche comme le mot l’indique, soit je continue tout droit. Je regarde autour de moi à la recherche de la grosse pierre noire, elle est là, à ma gauche. Je tourne à gauche et m’arrête devant celle-ci. « Alors ?, dis-je, je dois faire quoi maintenant, continuai-je sans vouloir que quelqu’un me réponde. » J’attends, je touche la pierre noire puis j’entends derrière mon dos : « Nous commencions à nous impatienter. » Je me retourne brusquement, c’est Greg, je le reconnais avec sa voix dégoutante.

     

    « - Que voulez-vous ?, demandai-je.

     

    - D’abord que tu nous suis, puis que tu te taises.

     

    - Et pourquoi je ferais ça ?

     

    - Parce-que tu es venue, tu ne veux plus de morts n’es-ce pas ?

     

    - Ils sont morts pour me sauver je ne leur est rien demander !!

     

    - Bon, on continue de discuter ou tu nous suis ?

     

    - Je viens mais à une condition.

     

    -…, il soupire, laquelle ?

     

    - J’aurai le droit de partir si je le veux.

     

    - N…, rah !! BON D’ACCORD !!! MAIS DEPECHONS NOUS ALORS !!!

     

    - Allons-y… »

     

    Greg avance vers la pierre, il met son espèce de tatouage dessus puis il se recule. La pierre se multiplie en six fois puis Greg va en toucher une autre, elle est toute à droite. « Système de sécurité », me dit-il. La pierre noire revient à son ancienne place puis elle s’ouvre et laisse un escalier qui descend très profond sous terre. Greg commence à descendre, il se retourne et me fais signe d’avancé puis il dit aux autres de bien rester derrière moi. J’avance dans les profondeurs de se trou. Quelques minutes plus tard, une lumière apparait au loin, elle est rouge et puissante. On continue de descendre, je demande :

     

    « - C’est encore loin ?

     

    - Si tu t’arrête de parler se ne seras plus très loin. »

     

    D’un seul coup, une lumière m’aveugle complètement. Je ferme les yeux aussitôt puis je les rouvres doucement. Je suis arrivée dans une grande salle noire, les murs et le sol sont noirs. Un siège se trouve tout au fond de la salle, il rouge-or, une grande dame y est assise. Elle a les cheveux noirs, ils sont lisses et détachées. Elle a les yeux rouges et porte une grande robe noire, sur sa tête se trouve une couronne en or. C’est une reine, peut-être celle des damnés. Greg arrive devant elle et s’agenouille comme les autres. Je reste debout, derrière Greg, elle me fixe des yeux puis :

     

    « - Agenouille-toi, m’ordonne-t-elle.

     

    - Pourquoi ?, demandai-je brusquement.

     

    - Tu es chez moi, donc tu obéie à mes ordres.

     

    - ON m’a emmenée chez vous, je ne suis pas venue de mon plein gré.

     

    - Faites-là s’agenouillée juste devant moi, et dépêchez-vous !!, ordonne-t-elle aux hommes devant les portes. »

     

    Deux gros costauds s’avance vers moi me prenne les deux bras et me font agenouillée.

     

    « - Se n’ai pas la peine de résistée, me dit-elle. Ils sont bien plus forts que toi. Je m’appelle Serena, je suis la reine des damnés, et toi, tu es m’a, ignoble et répugnante fille. Emmenée-là au cachot, je l’appellerais peut-être se soir.

     

    - Vous n’êtes qu’une sale et mauvaise reine, vous traitez vos serviteurs comme des chiens et même vos invités. Vous n’êtes pas digne d’exister.

     

    -…Tout qu’on de fait, laissez-là moi. Partez tous, je vais la faire souffrir et elle se taira une bonne fois pour toute.

     

    Les deux costauds me lâche, tout le monde sans va puis Serena se lève et s’avance vers moi. Elle à une démarche de reine. Elle s’arrête devant moi :

     

    - Alors ? Tu as quelque chose à dire à ta mère ?

     

    -…

     

    - Mmm, ça m’aurait étonnée que tu parles. Je t’ai abandonnée dans la forêt quand tu avais 2 mois, ne me demande même pas comment ta grand-mère t’as retrouvée, je venais juste de te déposée et elle arrivée. Elle t’a pris dans ses bras et m’as dit « Ne l’approche plus jamais. », je l’ai toujours détestée. Bon venons-en à l’essentiel, rejoins-nous. Tu es une damnée, mon ancien maître t’avais tuée et je t’ai fait renaître après, alors rejoins-nous.

     

    -…

     

    - Toujours aussi silencieuse.

     

    - Je ne veux pas. Je suis une sur-damnée et…

     

    - Tu n’es rien du tout !! , cri-t-elle, tu n’es pas une sur-damnée, ta métamorphose en une damnée n’est même pas complète.

     

    - Vous mentez, dis-je en commençant à avoir les yeux rouges, vous mentez Serena, je peux courir vite, commençai-je en parlant d’une voix grave, j’ai une force surnaturelle…

     

    - Et tu as les yeux rouges quand tu t’énerves. Oui, ça se sont quelques-uns des signes que les damnés développent en se métamorphosant petit à petit. Les sur-damnés n’ont que les deux choses que tu as dites.

     

    - Comment le saurai-je, quand je serais une damnée.

     

    - Oh !!, il n’y a que cinq choses à retenir, tu as déjà dit les deux premières, j’ai dit la troisième, et ensuite je peux te dire les deux dernière mais…tu es beaucoup trop maligne pour les savoirs.

     

    - Dites-les-moi maintenant.

     

    - D’accord, les damnés court vite, ils ont une force surnaturelle, ils ont les yeux rouges quand ils s’énervent, ils savent se que va faire leur adversaire rien qu’en les regardant dans les yeux et ils ne peuvent pas mentir. Sinon…

     

    - Ils sont tués, terminai-je. Je n’ai pas les deux dernier donc…

     

    - Tu vas les développées peu à peu. Tu grandis Nora, donc t’es « pouvoirs » surnaturelles se développent eux aussi.

     

    - Je n’aime pas ça du tout.

     

    - Je savais que tu dirais ça, et, n’essaye pas de t’enfuir, et y a les deux gros costauds de tout à l’heure derrière les portes. Tu pourras partir quand tu m’auras donnée ta réponse.

     

    - C’est toujours non.

     

    - Et si je te dis que t’es deux amis qui sont dans le chalet risque leur vie en se moment même pour te sauvée, quelle est ta réponse ?

     

    -…Non…

     

    - Non ?

     

    - C’est exacte. Je les ai abandonnés donc, je n’en ai rien à faire d’eux…

     

    - Tu hésites encore, je le voix dans ton regard, tu tiens encore à eux non ?

     

    - C’est faux, je veux m’en aller. Laissée-moi partir tout de suite.

     

    - Quand t’a réponse aura changé nous te laisserons deux jours, alors ?

     

    -…pourquoi…, c’est d’accord.

     

    - Ah !!, cria-t-elle de joie. Merche, Herche !!

     

    - Oui madame, dirent les deux costauds. 

     

    - Emmenés Nora dehors, vous irez la rechercher dans deux jours partir de maintenant. Bonne nuit Nora. »

     

    Merche et Herche me prennent par les bras et me tirent jusqu’au dehors. Il pleut. Ils repartent dans le trou qui se referme tout de suite après.

     

    Je reste seule, je soupir. Quesque je vais bien pouvoir faire. Mon portable vibre dans ma poche de jeans, je le prends, c’est un message de Chad :

     

    Salut Nora, c’est pour te dire que, tu peux revenir au chalet si tu veux. A tout de suite, enfin, si tu viens. Biz…

     

    Je lui réponds « j’arrive ». Je commence à courir sur le sentier, je ne vois rien, il pleut de trop, je n’ai même pas de capuche. J’entends un énorme hurlement de femme, « Serena », me dis-je. J’arrive devant le chalet quelques minutes plus tard, je cogne. Quelqu’un m’ouvre, se n’est pas Chad n’y Lysias mais c’est Greg.

     


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