• Je vais commencer par poster l'épilogue de mon roman, je ne l'ai pas encore terminé mais j'aimerai que vous me dîtes en premier ce que vous en pensé.

    PS : pas de commentaires méchants ;)


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    Revanche

     

     

     

    Epilogue 

     

     

     

    Chad Marvelo se dirigeant vers le chalet en bois d’épicéa, y retrouva Emily Tamie, la grand-mère de la jeune Nora âgée alors de quatre ans. Emily était penchée sur la table en train d’étudier une carte de la forêt où ils se trouvaient. Chad s’approcha du canapé où était assise Nora et, l’a prenant d’en ses bras musclés, Iui caressa chez cheveux bouclés puis la serra contre lui. Il s’avança vers Emily et se pencha pour regarder la carte.

     

     « Des nouvelles ?, demanda t-il nerveux. Sommes-nous vraiment obligés de combattre, nous pourrions juste parler avec eux.

     

     - Tu veux que l’on discute avec eux ?, s’écria-elle. Ne t’ai-je donc rien appris mon pauvre ! Nous sommes en guerre, comprends-tu ?

     

     - Oui madame mais…Nora, ne risque telle rien ? Elle aussi en danger, nous devrions…

     

     - Non, non, NON ! Tu ne désobéis pas c’est compris Chad !! Nous sommes tous en grand danger, il n’y a pas qu’elle. Ses parents sont à l’origine de tout ça et je ne veux pas qu’elle en paye le prix. Ne t’ai-je donc jamais raconté ce qui c’est passé quand elle n’avait que deux ans ?

     

     - Non, il y a eu un problème Emilie ?, demanda t-il impatient.

     

     - Oh, alors je ne t’ai jamais rien dit alors…, soupira-t-elle. Hum, et bien, Nora avait deux ans et ses parents l’aimaient énormément mais un jour elle tomba gravement malade et après être allé voir un médecin, sa mère découvrit que Nora ne pourrait pas survivre car elle avait une maladie au cœur. Son père essaya par tous les moyens pour la sauver mais se fut un échec total. Ils m’ont appelée et je leur ai répondu qu’il se débrouillerait seul, je ne m’entendais pas avec ma fille et son gendre alors j’ai décidé de les laisser tomber mais plus tard j’appris que son père avait donné son cœur pour la sauver de la mort et un an plus tard, les damnés ont envahis notre monde, ils ont fait ramené son père à la vie… Je ne m’en suis jamais autant voulu de toute ma vie. La mère de Nora s’est suicidée peu après le décès de son mari laissant sa fille seule. Je l’ai alors recueillie et l’ai élevé comme mon propre enfant. Ma fille est devenue damnée peu de temps après sa mort soudaine et elle a promis de se venger. C’est là que la malédiction est tombée, quand Nora mourra, elle sera ressuscité et deviendra elle aussi une damnée, elle pendra sa revanche.

     

     -…, ouah ! Quelle histoire, mais…, commença Chad, comment ? Tu ne l’as laissera pas mourir n’es-ce pas  ce n’est encore qu’une enfant. Elle n’a que quatre ans.

     

     - Bien sur que non, soupira Emily, le problème est que je n’ai pas le choix. Elle mourra bien un jour et tôt ou tard, elle fera partie de leur espèce.

     

     - C’est pour ça que tu veux vraiment faire la guerre contre eux, pour les détruire comme ça, Nora restera vivante.

     

     - Et tu veilleras sur elle quand je serai partie dans l’autre monde. Mon avenir à été prédit par une grande sorcière qui est morte peu après me l’avoir prédit. Je mourrai pendant la bataille, la mère de Nora arrivera derrière moi et me tuera avec un couteau, elle le plantera trois fois dans mon dos puis elle me retournera pour que je puisse la voir et m’arrachera mon cœur. 

     

     - Beurk !, s’écria-il. Je crois que je vais vomir… »

     

    Il détourna la table, alla vite déposer Nora sur le canapé et court vers les toilettes.

     

    Quelques minutes plus tard, on frappa à la porte, Emily prit un canif dans sa main et le cacha dans sa poche puis elle s’avança vers la porte et l’ouvrit. De grands hommes costauds habillés de noirs s’emparèrent du chalet. Ils firent tomber lourdement Emily par terre et l’a maintinrent au sol pendant que d’autres couraient chercher Nora. Le plus petit des hommes la prit dans ses bras et cria aux autres de s’enfuir. A peine avaient-ils franchi le pas de la porte que Chad s’élança sur eux. Il sauta sur le petit homme et lui reprit Nora des bras, Emily lui cria d’aller se réfugier dans la forêt, ce qu’il fit. Il poussa tous les autres hommes le plus loin qu’il pu et s’enfuit vers la forêt. A peine avait t-il franchi le pas de la porte qu’une voix résonna dans sa tête « Donne la moi », les intonations devinèrent de plus en plus forte mais il résista et se cacha dans les bois. Après de lourdes courses, il s’assit au pied d’un arbuste et assit la petit Nora sur ses genoux.  Il lui prit les mains pour les réchauffer, elle colla alors sa tête contre son torse et il lui commença à lui raconter une vieille légende pour la calmer de toute cette précipitation.

     

    «  Je préfère que tu sache la vérité, au cas où… ».

     

    « Cette année là fut horrible pour les gens du village,  une famille arriva dans la petite bourgade. Une ancienne malédiction se révéla alors aux fondateurs du village. Une dame âgée leur conta que quand ils arriveront, il faudra se cacher. Les habitants ne devront pas se laissez contrôler ou même envouter par les dires de la nouvelle famille car leur mort sera immédiate. On raconte que les gens du village se réfugièrent dans leurs maisons et n’y sortir que pour d’extrême besoin. Mais un jour, le soleil disparu, les oiseaux du malheur apparurent, cette fameuse famille arriva dans la petite bourgade, les habitants terrifiés ne sortirent pas pour leurs souhaité la bienvenue. Elle était composée de six membres ; les parents étaient très beaux pour leur âge. Le père avait soi-disant les cheveux noirs comme un corbeau et les yeux marron semblable à la terre. Son visage fin et sa bouche entrouverte laissé échapper un son grave et très étrange et son nez bien droit faisait penser à un mannequin perdu dans la foule. Sa femme, bien que jolie avait le visage dur, ses yeux roses se fondaient dans n’importe quel décor, ses cheveux bruns étaient très bouclés et s’accordaient parfaitement avec ses lèvres rouges. Son nez robuste et sa taille fine envoutaient quiconque passait par là. Ne parlons point de ses deux filles et garçons. Ils leurs ressemblaient comme deux gouttes d’eau, belles et beaux comme des roses. Sauf le plus jeune…il était blond, ses yeux étaient vert comme les feuilles ayant atteint leur maturité. Son souffle chaud  et son visage doux accompagné de ses petites boucles faisaient de lui l’homme le plus beau. A peine arrivé les habitants sortirent de chez eux et commencèrent à s’approcher des nouveaux venus.

     

    Une jeune fille tendit sa main au père et la lui serra en guise de salut. Le sourire apparu de suite chez la famille  mystérieuse… »

     

     - Il te ressemble…, susurra Nora après quelques minutes de silence.

     

     - Je ne pense pas, dit-il en levant les yeux vers le haut. Je continue si tu le veux bien :

     

    « Après quelques jours passés dans le village, le jeune homme, plus beau que tous les autres biens entendus, sortit de chez lui. On raconte qu’il alla toquer chez une jeune fille et qu’il l’emmena très loin dans la forêt. Elle disparu alors de la circulation et ne réapparu plus jamais… Des années plus tard, les recherches avaient cessés car on avait retrouvé son corps attaché à un arbre. Son visage montrait la douleur, la souffrance et la peur, elle avait été lacérée, ses vêtements sales prouvaient qu’elle était là depuis fort longtemps. Elle avait encore des larmes dans ses yeux et sa bouche crispée montrait qu’elle avait souffert.  Le beau blond et son frère arrivèrent sur le lieu du massacre quelques heures après la découverte du corps. On pouvait remarquer la terreur sur leur visage mais de quoi avaient-ils réellement peur ? Personne ne le savait…la famille fut envoyer dans la forêt en guise de châtiment car les habitants de voulaient rien entendre. Les seules réponses retenues étaient  « ce n’est pas nous, par pitié laissez-nous rester ! ». Mais les hommes et les femmes de se temps là étaient cruels et idiots, ils décidèrent qu’ils les tueraient chacun leur tour et qu’ils garderaient un peu de leurs sangs en guise de ce « souvenir »…La pauvre famille s’en alla donc dans la sombre et terrifiante forêt. On pouvait, la nuit, entendre des cris de peur et cela effrayaient instantanément les villageois. Mais un jour la malédiction se fit entendre une nouvelle fois, les mêmes mots se propagèrent dans tout le petit village sauf qu’une phrase s’était rajouté à celle-ci : maintenant que nous sommes là, vous ne pourrez plus vous échapper. Et là, ce fut la panique total la peur envahit la bourgade personne ne sortit de chez lui, les portes furent bloquées et renforcées, les fenêtres recouvertes et le village s’éteignit pour de bon. Quand la fameuse famille sortit de l’ombre, les rues étaient désertes, les boutiques fermées, c’étaient comme si plus personne n’étaient là… Le plus jeune s’avança dans les rues vides et il marcha, il regarda autour de lui…personne. Il alla ensuite ouvrir la porte d’un pub…personne…enfin pas vivant. Les autres membres de la famille arrivèrent alertés par les cris du jeune homme. Il était comme pétrifié, le sang, les corps sans vie des villageois gisaient à ses pieds. »

     

    Nora regarda alors Chad droit dans les yeux, et elle lui demanda d’une voix faible : « Es-ce toi ? »

     

    Il ne sut alors quoi lui répondre quand un bruit lointain se fit entendre, Chad prit Nora dans ses bras et commença à courir aussi vite qu’il ne put. Il entendit des voix et accéléra le pas, les branches des arbres le griffèrent aux bras mais il ne devait pas sentir la douleur, il devait la renfermé en lui car Nora était dans ses bras. Il vit une flèche passé tout près de lui et monta dans un arbre, le plus haut qu’il put, il y déposa Nora et l’embrassa sur le front. Il lui susurra un je t’aime et sauta, les hommes lui sautèrent dessus et il se débâtit comme un guerrier. Mais Nora tomba et se fut la fin.

     


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  • Le premier chapitre est assez court mais la suite est plus interrésante .... je vous laisse le découvrir. :D

     

    Chapitre 1

     

     

    Je n'arrive pas à m'endormir, depuis ma séparation avec Harry, c’est un beau garçon aux yeux bleu-vert, la vie que je mène est dure et je n’arrive plus à dormir. Je ne suis plus en cours, surtout en français quand il est question de rédiger une lettre de déclaration. Il doit être au moins une heure du matin. J’ai un mal de crâne, mal de ventre et de la fièvre, mais très froid. Si je m'endore, je referais surement des cauchemars. Ca m'arrive tout le temps depuis que je suis à l'internat. Je n’aurais jamais du y aller. Je suis dans une chambre pourrie. Il y a quatre autres filles avec moi dont trois qui sont pareils que la chambre. Il y a ma meilleure amie, Lily, une blonde aux  cheveux long et bouclées, les yeux bleu foncé, elle s'habille trop bien par rapport à moi,  franchement je ressemble à un garçon manqué. Je suis brune, les yeux vert, je m’habille mal, je suis moche, enfin je trouve, et toutes les autres filles me détestent à par Lily. Ca a été la première à venir vers moi. Dès que je suis arrivée, elle c’est précipitée vers moi et m’a demandée si l’on pouvait devenir amie. J’ai dis oui sans hésiter. Preuve qu’elle m’adore, elle m’a donnée une chaîne, celle de sa mère qui est morte quand elle avait deux ans, c’est ce qu’elle m’a dit. Il y a un cœur au bout que l’on peut ouvrir, je n’ai jamais réussi pourtant. Je lui ai même promis qu’on ne se séparera jamais « Je ne t’oublierai jamais ». La deuxième s'appelle Chloé, rousse, pas de chance, ses cheveux sont courts et lisse. Son style c’est grunge. J’aime bien. Elle a les yeux noisette. Et puis les deux dernières sont sœurs, Laura et Melinda, Laura, une petite blondasse, elle a les yeux bleu clair, elle se maquille beaucoup, tout le monde la prend pour une princesse, on la respecte, on l'admire à part moi et Lily. Melinda, elle, c'est une gothique. Le genre maquillage trop foncés, ongles vernies de noir, marron foncés, bleu foncés… Laura et Melinda sont les filles de la "sous-directrice" Mme Kawa. Je dis ça parce-que, le directeur ne l’aime pas vraiment mais puisqu’elle est très stricte et lui non, il la garde comme  "sous-directrice". Mes parents mon mis à l'internat, soi-disant, que je ne travaille pas assez. Douze de moyenne en seconde, je ne veux pas devenir médecin moi !!!  

     

    Notre chambre est divisée en trois parties. Il y a la salle de bain et les toilettes, c’est nettoyer quatre fois par jour, matin, midi après-midi et soir. La deuxième partie c'est là où y a la mini-cuisine, on a un mini-frigo, avec une table et quatre chaises. Et la dernière, il y a les lits... C'est bon je commence enfin à m'endormir.

     

    Il fait sombre, je pense que je dois être sur une plage, car je sens le sable en dessous de moi et l’odeur de la mer arrive à mon nez,  je sens quelque chose coulé sur mon bras, " du sang !!!!", je commence à paniquée, j'essaye de me lever mais mes jambes refusent. Je tremble énormément, je vois quelqu'un au loin, j'appelle à l'aide, je cris mais il continue de marcher vers moi sans réagir. Il arrive devant moi, il me tend un bouquet de cinq lys, les fleurs de la mort. Je vois alors de beaux yeux vert, comme moi, il est tellement proche que je s’en son souffle sur mon visage. Je crie et il plaque ses mains contre ma bouche en lâchant le bouquet. Tout tourne autour de moi dès qu’il m’allonge par terre, j’essaye de me débattre mais les forces me manquent. Il approche alors son visage du miens et…

     

    Quelqu'un me secoue, je l’entends dire mon nom.  Je me réveille, j’entrouvre les paupières et me redresse d’un seul coup pleine de sueur.
    « - Nora, réveille-toi ! Nora !!
    -Ah !
    -Tu as encore fait un cauchemar !!
    -…Oui, tu es seule ? Où sont passé les autres ?
    -Elles sont parties déjeuner. C'était quoi ? Tu hurlais et je crois que tu as réveiller les chambres d’à côté…
    -Euh, j’étais allongée, sur le sable je crois et je saignais du bras. Je tremblais beaucoup. Au, au loin, je voyais une personne, elle tenait un bouquet de cinq lys.
    -C'est tout ?
    -Oui...euh, je, je n'arrivais pas à me lever et il m’a plaqué par terre et….tu m’as réveillé.
    -C'est vraiment bizarre. Tu devrais vraiment allez voir un médecin ou un, je ne sais pas moi, un spécialiste.
    -Non, ils vont me prendre pour une folle.
    -Nora, tu commence à saigner du bras. Tu t’es coupée ? Je vais te chercher un torchon.
    -Non mais merci. »
    Lily me fais un bandage. Je me dirige ensuite vers la fenêtre car je constate qu'elle est cassée. Des bouts de verres ont giclés partout sur le sol.
    « -Lily, il y a quelqu'un allongé par terre !!!
    -Oh non !! Ca recommence, ah !!! »
    Lily commence à tremblotée.

     

    « -C'est le cinquième Nora ?, je n’arrive pas à y croire…, dit-elle sur un ton désespéré.
    -Oui, dis-je en baissant la tête ».
    Depuis cinq mois en contant celui-ci, des élèves sont retrouvés morts devant notre fenêtre. Et depuis cinq mois je fais des cauchemars et à chaque fois une fleur de lys se rajoute. En m’apprêtant à retournée près de mon lit je trébuche contre une pierre de taille moyenne, un humain peu facilement la portée d’une seule main. Je la ramasse, il y a un mot en dessous d’elle « même heure, même jour, même endroit compris ? »

     

    -Lily regarde se qu’il y avait par terre.

     

    -Fait voir, même heure, même jour, même endroit compris ?, hum, c’est peut-être quelqu’un qui la envoyer sur la mauvaise fenêtre…

     

    Notre conversation est interrompue par des toque- ment à la porte. La "sous-directrice", Mme Kawa entre dans la chambre. Aujourd’hui, elle porte un bustier gris clair à rayures avec sa jupe moyenne de d’habitude toujours grise. Elle porte encore ces lunettes sur le bout de son nez crochu, et ses cheveux sont encore attachés en chignon.
    « Bonjour mes demoiselles, veuillez venir avec moi s'il vous plaît.
    -Oui madame, répond Lily.
    -Non, dis-je.
    -Qu’est-je entendue ? Mademoiselle Casse-pied je suppose.                                                                             

    - Kazama s'il vous plaît, dis-je.                                    

     

    - Ne me parlée pas sur se ton, c’est la même chose en plus, hurle-t-elle sur d’un ton désinvolte.                              

     

    - Non, se n’ai pas la même chose. »

     

    Elle commence à devenir rouge comme une tomate quand…                                                                        

    « - Que se passe t-il ici, j’ai entendu crier.                        

     

     - Se n’ai rien monsieur le directeur, dire tout le monde.

     

    C’est un grand monsieur brun, il a les yeux gris, il a quelques rides sur son visage et il dit toujours se qu’il pense avec une grande difficulté et il réfléchi longuement avant de parler. Il est toujours en costard-cravate. Il à un grand cœur enfin je pense que là se n’était pas cas. Il est directeur depuis maintenant trente ans.

     

    « -Bon très bien, alors euh, que faites vous là Mme Kawa ?

     

    -Je venais dire à ces jeunes filles se que, je pense, vous allez dire.

     

    -Ah, très bien. Bon alors, vous êtes bien Mlle Kazama et Mlle Fyste ?

     

    -Oui, c’est bien nous, dis-je.                                                  

     

    -Très bien, alors, hum, dit-il en se raclant la gorge, comment vous-dire ça. Nous voudrions que vous quittiez l’internat quelque temps.                                       

     

    - Quoi !!! »

     

    « Je me demande bien pourquoi ils veulent nous renvoyer de l’internat alors qu’on a rien fait », songeai-je. Je sens Lily tremblée de rage à côté de moi. Je lui sers la main et la regarde du coin de l’œil, elle a terriblement peur mais je sais que ce que va nous conté le directeur ne va pas arranger les choses.

     


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  • Voilà le chapitre 2 et le dernier de la soirée !!

     

    Chapitre 2 

     

     

     

    Lily reste figée quelque instant puis elle prend la parole :

     

    - Ce n’ai pas possible,  POURQUOI !! crie Lily.                      

     

    - Je ne comprends pas…, dis-je.

     

    - Nous voulons juste voir si ces, ces, enfin vous voyer se que je veux dire mes demoiselles.

     

    - Non, on ne comprend pas !!, criai-je.

     

    - Ne criée pas comme ça mademoiselle Kazama, je…

     

    - Quoi je ???? Vous n’avez pas le droit de nous renvoyer comme ça sans l’accord de nos parents !!, s’écrie tout d’un coup Lily. C’est, c’est injuste !!

     

    - Nous avons déjà envoyé une lettre à vos parents et ils sont d’accord.

     

    - Ce n’est pas vrai, vous mentez…

     

    - Mademoiselle Fyste, je, enfin, je ne mens pas…

     

    -Stop !!! Arrêtez !!!, dis-je. Ca suffit, Lily, on part.

     

    - Non, je reste mais…

     

    -D’accord, alors reste si tu veux. Moi je pars. Alors ? Je vais où ? Dans les bois ?

     

    -Nous, euh…, vous… Oui dans les bois, il y a un chalet qui vous y attend. On vous apportera de la nourriture matin, midi et soir et…

     

    -Non, c’est bon, pas la peine.

     

    -Très bien, alors prenez toutes vos affaires, car il se pourrait….revenez….ici…

     

    -De quoi ?

     

    -Non rien, tenez, voici un plan, votre chalet se trouve à droite de la carte à deux cent mètres de l’internat et n’allez pas à gauche car vous pourriez rencontrer des choses qui vous serai fatal. Au revoir.

     

    -Bon, et bien, à plus Lily j’espère que tu ne m’oublieras pas.

     

    -Non, non, vous ne pouvez pas la renvoyer comme ça. Vous ne…

     

     -Pas de discussion mademoiselle Fyste, l’interrompt Mme Kawa, on s’en va. Nous vous laissons seule mademoiselle Kazama.

     

    Ils sortent tous de la chambre et me laissent seule.

     

    Je prends mon sac eastpak gris et le rempli de cahiers, de nourriture, de vêtements, et d’objets divers. Avant de partir, je regarde autour de moi pour voir si je n’oublie rien puis je descends l’escalier en marbre, et traverse la porte de verre. J’arrive à l’accueil et on me dit de vite m’en aller de peur qu’il n’y est encore un meurtre. Je prends donc tout mon temps avant de sortir, je demande des indications :

     

     

     

    - Et, euh, où se trouve la salle de sport si je veux y aller ?

     

    -Elle, elle, elle se trouve à, à droite de la salle de musique, me répond une jeune fille à l’accueil.

     

    - Très bien merci, il ne faut pas avoir peur, je ne suis pas un monstre !!!

     

    - Les, les derniers qui, qui sont partis, il, il y a des années étaient des monstres, ils avaient les yeux rouges comme vous quand ils s’énervaient, c’étaient des, des….

     

    - Des quoi ?

     

    - Je ne peux pas le dire, j’ai trop peur qu’ils reviennent me hanter… Partez vite et ne revenez pas !!!

     

    - D’accord, d’accord, je ne reviendrai pas, enfin peut-être…

     

     

     

    Je sors de l’internat et continue de suivre le petit sentier comme on me l’a conseillé, je marche pendant une bonne dizaine de minutes mais je ne vois toujours rien à part des arbres et le sentier qui s’enfonce plus loin dans la forêt. Je prends mon portable mais il n’y a pas de réseau, je continue donc de marcher encore et encore. Une demi-heure plus tard, j’aperçois au loin un petit chalet, il a l’air vieux et n’a pas l’air entretenu. Je cours vers le chalet et ouvre la porte avec la grosse clé en bronze que l’on ma donnée. J’entre dedans et découvre une petite pièce, sentant le moisi. Il n’y a qu’un canapé beige avec une petite télé devant, une bibliothèque ne contenant que quelques livres du genre : Etude de la logique, Biographie de Steven Maïe, Comment apprendre ces leçons…

     

    Juste à côté, il y a un mini frigo comme dans mon ancienne chambre, et une petite table  accompagnée d’une chaise, et d’une gazinière. Un plan-de-travail est à juste côté. Il y a, ensuite, un petit couloir qui me mène à gauche dans la salle de bain, et à droite dans ma chambre. La salle de bain ne contient qu’une douche, des toilettes et un évier. Les murs sont blancs avec quelques taches noires par-ci par-là. Elle sente aussi le moisi et je n’ai aucune envie de me doucher là. Je range dans le petit placard ma brosse à dent ma serviette pour la douche, mon shampoing… Je sors puis entre dans la chambre qui est aussi petite que la salle de bain. Elle ne contient qu’un simple lit, avec une couverture bleu clair, un bureau en bois et une chaise de la même matière. Les murs sont gris clair et le sol est en parqué gris clair. Une commode est posée à côté du lit et dessus, je remarque une photo. Je la regarde de plus près et constate que c’est un jeune garçon qui doit avoir à peu près le même âge que moi, il est brun et à de magnifique boucles, il ressemble étrangement à Harry mais je sais que ce n’est pas lui car les yeux ne sont pas pareil, il a les yeux vert comme moi mais ne sourit pas, on dirai même qu’il est triste. Derrière le cadre il y a marqué : Pour Chad Marvelo, un ami qui m’a été fidèle pendant le combat contre les humains et les tu sais quoi. De Katie Rill.  

     

    Je ne comprends pas vraiment le sens de la phrase mais je continue de regarder se qu’il y a dans les tiroirs, je range mes affaires puis je décide de sortir dehors pour prendre l’air. Je traverse le petit couloir et arrive dans le salon. J’ouvre la porte, sors, referme et avance. Je suis un petit sentier et marche pendant un bon quart d’heure. J’arrive au bout du chemin, je vois au loin une silhouette, un homme, enfin je pense, elle me tourne le dos. Je continue de marcher vers elle puis, sans le faire exprès, marche sur une brindille.

     

    La silhouette se tourne vers moi, puis elle commence à s’avancé. Un froid glacial arrive, et la température chute soudainement, il fait sombre tout d’un coup. Mon sang se glace. Je ressens une angoisse, une boule au ventre car il fait tout noir et je ne vois pas la silhouette qui, sans que je le sache vraiment, continue d’avancé vers moi. Je ne la vois plus du tout, elle disparait de mon dernier champs de vision. Je sens d’un seul coup une main se poser sur mon épaule, je me fige sur place. Je sens des bras s’enrouler autour de ma taille. Il me sert de plus en plus fort jusqu'à se que je ne puisse plus respirée, je m’évanouie mais ressens quand même les choses que l’on me fait. D’abord, des mains glacial, me prenne les miennes, puis elles me tirent, longtemps, j’ai l’impression que ça ne s’arrêtera jamais. Quelques minutes plus tard, enfin, elles laissent tomber mes mains. Je reste quelques secondes par terre puis, je me sens soulever et ensuite poser sur quelque chose de mou.

     

    Quand je me réveille, il y a quelqu’un d’assit sur mon lit. Je me frotte mes yeux puis voit : MA GRAND-MERE !!

     

    « Ah !!! » On m’appelle :

     

    « - Nora !!, Ah, bah t’es bien gentille toi,  ma p’tite fille. C’est comme ça que t’accueillit ta vieille grand-mère ?

     

    - Ma, ma, mamamia !!! Grand-mère, c’est toi ?

     

    - Bah, oui c’est moi !!! Tu veux que se soit qui ?

     

    - Euh, et bien… Mais tu es morte !!!

     

    - Tu sais, les esprits qui n’on pas fait leurs devoirs doivent rester près de vous, les vivants, pour les accomplir. Mais sinon comment ça va ma puce ? Ca fait un bail qu’on ne c’est pas vue, non ?

     

    - Ouuaii, grand-mère, ça va, c’était toi dehors, la silhouette, qui a failli m’étouffer ?

     

    - De, de quoi ? Non, non ce n’était pas moi, je ne peux pas toucher les humains je suis un fantôme si tu ne tant est toujours pas rendu compte, mais bon, tu devine pourquoi je suis là, non ?

     

    -Euh, non pas vraiment ?, dis-je toujours tremblante.

     

    - Bon, faut qu’on parle, c’est sérieux. »

     

     

     

    Je m’assoie sur le canapé dans le salon et ma grand-mère aussi.

     

     

     

    « - Que se passe-t-il grand-mère ? C’est grave ? Pourquoi es-tu revenue ? C’est quoi que tu n’as pas encore accomplie ?

     

    - Ne me pose pas autant de questions à la fois !! Ca me fait quand même 100, 102, 105, 109 ans. Oh là, là, ça me rajeunie pas tout ça. Bon commençons par le commencement : Tu es en danger…

     

    - Hein…

     

    - Chut laisse moi terminée, après, tu pourras parler, donc : Tu es en danger, oui c’est grave, je suis revenue pour te prévenir et pour autre chose mais ça, s’est pas pour toi, se que je n’ai pas encore accomplie ? Et bien, ça ne te regarde pas. Maintenant, tu peux parler.

     

    -…Je ne sais pas quoi dire… Pourquoi n’es-tu venue que maintenant ?

     

    - Je pensai que c’était le moment de pointez le bout de mon nez.

     

    - Je suis sur qu’il y a autre chose…

     

    - Et, qu’es-ce qui te fait pensez ça ?

     

    - Toi, tu parles comme si tu avais quelque chose à cacher.

     

    - Qui ne te dit pas le contraire, je n’ai rien à cacher.

     

    - Vraiment ?

     

    - Tu n’as rien d’autre à me dire ?

     

    - J’ai une photo dans ma chambre à te montrer, tu viens ? Je ne sais pas si ça pourrais t’aider.

     

    - Pourquoi pas, dit-elle souriante. »

     

     

     

    Je me lève, traverse le couloir toujours aussi sombre et ouvre la porte de ma chambre. J’entre puis referme après que ma grand-mère soit passée. Je me dirige vers la commode, et prend le cadre.

     

     

     

    « - Alors grand-mère ? Qui-est-ce ? Ca te dit quelque chose ?

     

    -… (Elle regarde la photo), je ne sais pas.

     

    - Tu es sûr ?

     

    -…oui. Il faut que j’y aille. Au revoir ma puce.

     

    - Mais, grand-mère…pourquoi ?, chuchotai-je.

     

     

     

    Ma grand-mère part sans dire un mot. Elle disparait de plus en plus jusqu’à ne plus rien voir. Je reste assise sur le lit en repensant à tout se qui c’est passé aujourd’hui, d’abord la mort du gars, mon renvoie de l’internat, la silhouette glacial  puis ma grand-mère. Je m’allonge puis m’endore tranquillement.

     

    Le lendemain matin, je me réveille, je suis encore habillée. Je me lève, me regarde dans le miroir, mes cheveux sont en pétard. Je vais dans la salle de bain, ouvre la porte, n’entre même pas et la referme d’un seul coup. Mon sang se glace encore une fois. Je rouvre la porte. Il y a une fille, elle a la tête dans la cuvette des toilettes. «  Beurk !!! », dis-je. J’avance lentement vers elle, j’ai l’impression que chaque seconde représentent des heures entières. Je la retourne difficilement, j’ai les mains moites. « Ah !!!! » C’est Chloé. Je tremble de plus en plus. « Pourquoi-moi, pourquoi-moi… », dis-je la tête dans mes mains. J’entends tout d’un coup quelqu’un toquer à la porte. Je sors de la salle de bain, referme bien la porte, essaye d’aplatir mes cheveux avec mes mains et ouvre la porte. Je tremble, je passe la tête dehors mais je ne vois personne. Je suis prête à la refermer quand j’entends une voix, elle dit mon prénom, c’est une fille. Elle veut que je l’aide. «  Nora, Nora, aide-moi, je t’en pris, aide-moi, Nora. » Elle répète ça plusieurs fois. Je demande où elle est, j’avance vers la voix, je commence à m’éloignée du chalet et là, plus rien, à part un bruit de pas derrière moi.

     

     

     


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  • Voilà maintenant le chapitre 3 :

     

    Chapitre 3 

     

     

     

    Ils se rapprochent de plus en plus de moi. J’ai vraiment la chair de poule, je m’accroupie et attends. Les pas sont lourds. « C’est un homme », pensai-je. Une lumière éclatante comme des phares s’élève, pendant cette longue nuit, haut dans le ciel. Les pas s’arrêtent d’un seul coup. Je reste bien par terre et ne bouge plus. Je l’entends se rapprocher de moi, ça fait comme la dernière fois avec ma grand-mère.

     

    « Grand-mère ? Es-ce que c’est toi ? », Soufflai-je. Rien, pas un seul bruit. Les pas se sont arrêtés, je ne pense pas qu’il est parti car je l’aurai entendu. Je sens, tout d’un coup, un souffle dans ma nuque. Je n’ose pas me retourner, de peur que se soit cette même personne ou un animal. Il pose ses deux mains sur mes épaules et me retourne. Je ferme les yeux aussi forts que je le peux. J’attends, quelque minutes passent. Je décide d’ouvrir les yeux pour lui faire face, il faut que je l’affronte. Je les ouvre et… rien. Il n’y a personne, plus personne. Je n’ai même pas sentit des mains s’enlevés de mes épaules. Je me lève et commence à marcher. Les bruits de pas recommence, je me retourne tout en marchant et vois qu’il me suit, il est grand, un peu plus que moi. Je marche de plus en plus vite presque à courir. Je continue, je m’enfonce loin dans la forêt même si je sais que le chalet est dans mon dos, je ne veux pas faire demi-tour. Les pas s’approchent de moi, je commence à courir, de plus en plus vite. J’ai peur, je cours comme je n’avais jamais couru au par-avant. Je me cache derrière un arbre, puis je l’entends me parler, d’une voix glacial et terrifiante, « Ne te cache pas petite fille, enfin, Nora, si tu préfères, je vais te trouver, tu sais je suis très fort à cache-cache ». Mon sang se glace, il connait mon prénom, et il veut jouer à cache-cache, je recommence à courir, il est derrière moi, il m’attrape le bras et me pousse par terre, je tombe et me relève de suite. Je cours, je suis hors d’haleine, je ne peux même pas m’arrêter pour reprendre mon souffle. J’arrive devant la porte d’un chalet, je le reconnais, c’est le mien. J’entre, la porte est ouverte, et je la referme tout de suite derrière moi. Je reste là, dans l’entrée, je ne bouge plus, je reprends mon souffle puis je vais m’assoir sur le canapé. Je suis fatiguée mais je ne peux pas dormir, je suis trop terrifier à l’idée qu’il revienne.

     

    « -Ah, te revoilà enfin Nora, je commençais à m’inquiéter que tu ne reviennes pas.

     - Ah !!!!!!!!! »

     Je ne sais pas ce qui m’arrive, c’est la même voix que toute à l’heure, une voix glacial et terrifiante, je tombe d’un seul coup par terre, comme si on m’avait assommée ou que l’on m’avait poussée violement. Je m’évanouie, je suis inconsciente, que va-t-il m’arrivée…

     Je me réveille, j’ai froid. Je n’arrive pas à ouvrir les yeux, ils sont lourds et fatigués. J’attends quelques instant pour voir se qui va se passé, rien. J’ouvre enfin les yeux en grand. Je me relève et constate que je suis sur un lit, ce n’est pas le miens. Je m’assois, et contemple la pièce où je me trouve, elle est très grande. C’est un lit à deux places, en face de moi il y a une commode, elle est beige, tout se qu’il y a de plus normal, à côté, se trouve une armoire de la même couleur. A côté du lit, il y a une table de chevet, une lampe très belle y est posé, et non loin, il y a une photo. C’est un garçon, très beau, c’est le même que celui qui est dans ma chambre au chalet, il à l’air heureux par contre, elle a du être prise la même année car il est exactement pareil. Il n’y a pas de bureau, n’y de bibliothèque, pas non plus de chaise comme dans ma chambre. Je me lève enfin et me dirige vers la porte, je regarde les murs une dernière fois et remarque des posters, que je n’avais pas vu quand j’étais assise, se sont des chanteurs et des danseurs. J’ouvre la porte, sors et la referme.  J’atterris dans un salon, une télé, un fauteuil  et un canapé y sont posés, et des personnes s’y trouvent, quatre plus exactement. Je m’avance vers eux, ils n’ont pas l’air de m’avoir vu car ils ne se retournent pas. J’avance de plus en plus, je ne sais pas où je me trouve, n’y où je suis mais j’ai l’impression que je vais bientôt regretter de mettre réveiller. Je sors de mes pensés et reviens à la réalité quand je me rends compte qu’un garçon c’est levé et avance vers moi.

     

    « - Bonjour Nora, dit-il, c’est une voix douce mais glacial qui ressemble un peu à celle de tout à l’heure. Comment vas-tu ? Tu te sens mieux ?

     -O…comment vous connaissez mon nom ?, dis-je doucement et calmement mais d’une voix apeurée. »

    Il rigole puis me répond :

     « - Tu n’as pas à avoir peur de nous, on ne te veux aucun mal, dit-il d’une voix calme.

     - Comment puis-je en être sur ?, dis-je en reculent.

     -Ne recule pas Nora, dit-il tout en rigolant, ton nom circule beaucoup ses temps-ci, on raconte que tu as défiée le directeur, la sous-directrice, que tu as perdu une amie, Lily, si je ne me trompe pas, elle a dit beaucoup de choses sur toi cette Lily.

     - De quoi ? Comment me connaissez-vous ? Je ne vous est vu nulle part, n’y parler.

     -Tu as du voir beaucoup de choses terribles maintenant, tu ne devrais plus avoir peur. Viens t’assoir avec nous. Allez-viens, dit-il en voyant mon expression de terreur. »

     Je m’avance vers eux, doucement, il retourne s’assoir sur le canapé, je m’assoie, à mon tour, sur le fauteuil. Je les regarde un par un, visualise tous dans les moindres détails. Un jeune homme est assis tout à gauche du canapé. Il est brun aux yeux marron, cheveux court, il porte un t-shirt gris et un jean, en chaussure, il a des Vans. A côté de lui, est assis un autre garçon, il est brun aux yeux bleu, il a les cheveux mi-court mi-long, il est en costard, on dirait qu’il revient d’une conférence de presse. A sa droite, il y a une fille, elle est très belle, elle a les cheveux noir, ils sont ondulés, les yeux noir, elle porte une minirobe blanche, accompagné de petits nœuds par-ci par-là noire, elle a des ballerines noir aux pieds et enfin, à côté d’elle, le gars que j’avais déjà vu sur des photos, les cheveux brun avec des boucles, les yeux vert, comme moi, habillé que avec des marques, Abercrombie, Burberry, Vans… Il se lève, s’approche de moi, me prend la main et me fait signe de me levée à mon tour, ce que je fais sans broncher.

     « - A ta gauche, commence-t-il en me montrant le brun, c’est Noam, à côté de lui c’est Symh, la jeune fille, à sa droite, s’appelle Lysias, et moi, je m’appelle…

     -Chad, terminai-je, Chad Marvelo, tu es un ami, qui a été fidèle, à, à Katie Rill, pendant la guerre contre nous, les humains, mais…

     - A se que je vois, m’interrompe-t-il tu as déjà vu la photo qui est dans ta chambre et dans la mienne. Tu me dis ça, comme si tu le savais depuis longtemps, qui j’étais, et qui elle était. Tu dois surement te demander, mais pourquoi la guerre contre les humains non ? Mais, c’est tu vraiment la signification de cette phrase, c’est tu vraiment se qu’elle voulait dire par là ?

     - ….Non, non, je ne veux pas être mêlée à ça mais, se que je sais, c’est que vous n’êtes pas normal, et qu’elle et toi, vous étiez très proches,… et qu’elle est….

     - …morte, termine Chad d’un ton ferme. Elle est morte pendant la guerre contre les humains, une blessure mortel certes, mais terrible et cruel. Comment pouvez-vous continuer de vivre en sachant cela. Comment pouvez-vous continuer à nous tuer, à nous blesser, à nous ravager, vous, vous devriez payés pour se que vous avez fait, pour se que vous LUI avez fait. Elle est morte en voulant, en voulant…

     - Elle morte, en voulant te sauvée Nora, termine Lysias, la fille à côté de Chad, les larmes aux yeux.

     - Tu es le prix à payer Nora Kazama, continu Chad d’une voix rageuse mais souffrante, tu es le prix de toutes mes souffrances, j’ai vécu, longtemps dans cet endroit horrible et massacreur, le temps de te retrouver, et de tuer. »

     Chad se lève brusquement et se rut sur moi, il sort à poignard et l’approche de moi, il est près à me tuer mais Noam et Symh, lui prenne les bras, et il se débat jusqu’à blessé Symh qui tombe à la renverse et se cogne la tête contre le sol. Chad revient vers moi, pendant que Noam aide Symh à se relevé, et me fait une écorchure sur le bras puis Noam et Symh reviennent à l’attaque et l’emmène dans une autre salle pendant que Lysias reste avec moi, accroupie face à moi. J’entends Chad crier dans la pièce d’à côté, « C’était lui, il voulait me tuer, il souffre à cause de moi », dis-je à voix basse.

     « - Ca va ?, me demande Lysias en me sortant de mes pensés. C’est arrivé tout d’un coup, tu as du avoir peur non ?

     - Oui, mais plus de peur que de mal, dis-je en tremblant.

     - Ils étaient, plus qu’amoureux, plus qu’ensemble, me dit Lysias calmement, quand elle morte, on aurait dit, qu’une partie de son âme avait été arraché, on aurait dit, qu’on venait de le tuer, il a juré d’avoir ta peau, mais avant qu’elle meurt, elle lui a dit qu’il ne fallait pas qu’il te tue car tu es quelqu’un Nora, tu notre sauveuse, c’est toi, qui va tout arrêter, c’est toi, qui l’arrêtera.

     - Qui ?, demandai-je, qui dois-je arrêter ? Chad ?

     -Non, lui. »

     Elle sort une photo correctement plié de sa poche et dessus il y a un homme qui a l’air d’avoir fait du mal autour de lui. Un homme mortel. Il a le visage blanc d’un côté et noir de l’autre, ses yeux sont deux petits pupilles noirs. Il est habillé en manteau de fourrure, il a du sang qui sort de sa bouche. La photo doit être un portrait.

     « - Qui-es-ce ?, demandai-je une nouvelle fois.

     - Il s’appelle, dit-elle en soupirant, il s’appelle le démon noir. On ne connait pas son vrai nom. Chad est sur qu’il ta envoyer sur terre pour nous détruire, mais c’est impossible car tu es une humaine, à moins que, es-ce qu’il t’est déjà arrivé, des choses, des choses bizarre, pas normal.

     - Euh, je, oui, j’ai vu ma grand-mère, elle m’a prévenue qu’un danger me courrai après et j’ai aussi entendu une voix de fille m’appeler, elle me demandait de l’aider et elle pleurait.

     - Nora, je sais que l’on m’a interdit de te le révéler mais je pense que le moment est venu de te le dire. Tu n’es pas une humaine.

     -….peux-tu répéter ?, dis-je en ayant du mal à déglutir.

     - Il excite une légende celle des damnés, un seul de ses monstres revenus de l’enfer peut nous tuer… Nous, nous sommes des humains, enfin, nous courons excessivement vite et nous avons une force surnaturel, on n’est pas des vampires, ni des loups-garous, nous on est se qu’on appel les sur-damnés.

     - Des sur-damnés ? Quesque ça veut dire ? C’est encore un truc inventé par les auteurs ou c’est un conte fantastique qui a été écrit pour les enfants ?

     - Non, dit-elle en rigolant. Avant, reprit-elle d’un ton sérieux, nous aussi on était des humains. Nous sommes mort, puis nous sommes devenus des damnés, mais les sur-damnés, se sont ceux qui ont réussi à surmontés la haine, le mal qu’ils avaient en eux, ils ont surpassé les damnés et la guerre à exploser, les humains y ont été mêlé, il a eu un conflit entre eux et les damnés, ils s’entretuaient. Pour nous les sur-damnés, c’était dur de voir ça. Parce-que nous avions réussi, à surmonter tout ça. Ta grand-mère était une sur-damnée, c’est comme ça que nous te connaissons. Elle nous parlait de toi comme si tu étais sa fille. Elle nous manque à tous même à Chad, elle lui a sauvée la vie plus d’une fois et elle lui-même dit avant de mourir « Sauve ma petite-fille, si elle est en danger, je t’en supplie, c’est notre sauveuse », il lui avait promis et puis, quand Katie est morte il ne pensait plus à rien, à part à elle. Je, je ne l’avais jamais vu si bouleversé et si terrifiant. »

     Elle se lève et commence à partir quand :

     « - Une dernière question s’il te plaît…, dis-je.

     - Oui ?, dit-elle dans un murmure.

     - …..Es-que je vais mourir ?, demandai-je en avalant ma salive douloureusement.

    -….Je pense, que se sera en fonction de toi, à plus tard et tu dors dans la chambre de Chad, il va dormir dans le salon. Bonne nuit ».

     

     Je reste là sur le fauteuil, j’ai l’impression de rêver. Je me lève et vais dans la chambre de Chad. Après avoir refermé la porte, je m’assoie sur le lit et prend un coussin sur mes genoux et…

     « - Te voilà, dit une voix glacial mais douce à la fois.

     - C’est, c’est toi Chad ?, dis-je d’une voix à la fois terrifiée et épuisée.

     - Oui, dit-il en sortant d’un coin sombre, je suis désolé pour tout à l’heure, je…

     - Lysias m’a racontée, dis-je en lui coupant la parole, j’avais tant envie de lui parler que je ne l’écoutais presque plus, elle m’a racontée se qui c’est passé avec toi et Katie et aussi ma grand-mère, je suis terriblement désoler mais je n’y peut rien, se n’est pas moi qui est tuée Katie et si ma grand-mère n’avait pas été là elle aurait surement été comme toi mais, je suis désolé, continuai-je, je suis désolé, de se qui lui est arrivée…je…

     - Se n’est pas ta faute s’est aussi la mienne, j’aurai put la sauvée car elle était à côté de moi dans la forêt pendant la guerre et puis, elle est morte. J’ai tourné la tête pour vérifier que personne n’arrivait puis quand je me suis retourné pour la regarder un damné la poignardait dans le ventre. Je ne me suis pas soucié de la personne qui s’enfuyait c’était elle, pourquoi elle, dit-il les larmes aux yeux. Ca aurait put être moi mais pourquoi elle, pourquoi…

     - Se n’est pas de toi qu’il avait peur, mais d’elle, ils l’ont tués je pense parce qu’elle représentait une menace pour eux, se n’est pas de ta faute Chad…

     - MAIS J’AURAI PUT LA SAUVER !!!! J’AURAI PUT LA SAUVER !!!!!, hurle t-il. J’aurai put, j’aurai put… »

     Il s’assoit sur le lit, met sa tête entre ses mains et ferme les yeux.

     - Je n’aurai pas du essayer de te tuer tout à l’heure. Tu es peut-être ma souffrance mais, tu nous sauveras et j’en suis sur. »

     Il s’allonge sur le lit puis il sombre dans un profond sommeil. Je l’allonge correctement et lui dépose un baiser sur la joue puis sors de sa chambre et vais dans le salon. Je  m’allonge sur canapé et m’endors dans un sommeil démoniaque. Les rêves sont parfois heureux ou bien cruel et terrifiant mais moi je sais que maintenant, ils ne seront plus jamais heureux, plus jamais joyeux comme avant et que peut importe les conséquences que devrais subir, je sais que ma mort est proche tout comme un papillon vie et que je ne serais rien sans le vouloir. Ma vie ne sera rien tant que je resterais là et que je ne ferais rien. Je me dis que ma grand-mère n’est pas morte pour rien mais pour moi et la vie est unique surtout la mienne.

     


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